TEXTE JEAN-PAUL ORJEBIN – PHOTOS JEAN-PAUL ORJEBIN  CLAUDE FURIET  DPPI

Pilier de l’épopée Alpine avant de la quitter, Claude Furiet me raconte une époque véritablement bénie des dieux.

Votre vie professionnelle semble se confondre avec le monde de l’automobile.
Claude Furiet : Presque ! Il est vrai que mon premier job, c’est chez Alpine. Je fais la connaissance de Claude Rédélé lors de mon service militaire en Algérie. Nous sympathisons et devenons même les meilleurs copains. Démobilisé en 1960 et rentrant à Paris, il me présente son frère Jean. Je lui demande s’il a besoin de quelqu’un et il me dit oui tout de suite. Je déboule direct rue Forest où… je débute sans rôle précis. Je fais un peu de tout, je suis le factotum, Je suis surtout heureux que mon travail soit en rapport avec ma passion pour la course automobile.
(Lire la suite de l’article dans Bleu #1)