Sans faire de bruit, les Berrichons de Signatech, devenue l’écurie d’usine Alpine, sont passés à l’abordage du Championnat du Monde d’Endurance. Personne n’y a pris garde mais, après Spa-Francorchamps, Monza et Le Mans, leur Alpine A480 a signé une pole position, une 2e et deux 3e places en course. Cap sur 2022, désormais.

TEXTE PASCAL DRO – PHOTOS ALPINE/DPPI

Si les ambitions de Renault pour la marque Alpine en Endurance ont longtemps posé question, le doute n’est désormais plus permis. Pour autant, Alpine ne dispose en 2021 que d’une seule balle pour les atteindre et la dérogation permettant à l’A480 LMP1 (ex-Rebellion) de courir dans la catégorie reine des Hypercars s’éteindra en fin de saison. La suite ? Philippe Sinault, qui exprime depuis 2013 la volonté de revoir Alpine au Mans et dont l’Histoire fera le Jacques Cheinisse du 21e siècle, fait le point dans Bleu. Sportivement, directement et sans langue de bois, selon ses habitudes.
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